Ils en ont parlé...



France Inter...
Extrait du journal de 19h
du 11/02/2016

"Une lecture inattendue et plutôt fascinante, qui voit la vie d'un jeune homme ambitieux transformée par une passion authentique."
  Planètebd.com

"L'implication du héros a quelque chose de fascinant, comme une emprise du tableau sur la vie de Stéphane K."
  Bulles-Picardes : Les albums à ne pas rater

"C'est doux comme un impressionniste!"
  BD fugue

"Le Postello est un roman graphique passionnant et inattendu, (...) une œuvre d'art à part entière."
  La page des libraires

                   Le Postello


Qu'est-ce que "le Postello"? la réponse se trouve évidément dans l'album. En planche 19 pour être précis!
Mais le Postello est avant tout une rencontre. La rencontre avec Stéphane K., expert dans l'art de raconter son quotidien pas si banal que ça, et accessoirement expert en Art...









En 1991, Stéphane tombe sur un tableau qui attire son attention. Une œuvre non signée, mais d'une facture particuličre. Sans doute celle d'un grand peintre... Mais faire reconnaître une telle œuvre n'est pas facile, car le marché de l'art est vérouillé. Les preuves ne suffisent pas!

Il faudra plus de vingt ans à Stéphane pour comprendre et analyser son tableau, pour découvrir son histoire, et saisir pourquoi il n'est pas signé...





Envie d'entendre la véritable voix
de Stéphane?
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             La technique employée


Travailler sur l'art pictural nécessitait un traitement graphique particulier, susceptible malgrè tout d'être tenu sur les 112 planches que compte l'album. Hervé Richez, le scémariste, m'a soumis l'idée de partir de mon crayonné, sans encrage. La difficulté de l'exercice étant d'éviter le côté brouillon du dessin pour trouver un rendu propre et lêché.

Pour la mise en couleur, j'ai opté après quelques tâtonnements pour quelque chose de proche du pastel, mais réalisé sur ordinateur. Une feuille de papier kraft scanné me sert de fond, sur laquelle je pose mon crayonné, lui aussi scanné. Après quoi, je n'ai "plus qu'à" coloriser par rehauts succéssifs...

 

Dans ces premiers essais, le kraft était fort présent. Trop. Il aurait rapidement lassé la lecture. C'est pourquoi, au final, il n'apparaît que "par hasard", en bordure de case, ou sur une partie de dessin sans intérêt narratif.


Pendant mon travail de recherche, je suis tombé sur un article traitant de la représensation de la peinture en BD. Son auteur fait remarquer à juste titre que la BD se prête fort bien à l'analyse des œuvres picturales, car son caractère séquentiel lui permet de montrer les différentes étapes de travail du peintre.
Je ne sais pas si j'ai su relever le défi, mais j'ai eu cette problématique constamment en tête


A propos des personnages de cette histoire...
Quelques planches, avant leur mise en dialogue...
Recherches de couverture...
Vers le site de l'éditeur...